AMENAGEMENTS IUT DE MONT DE MARSAN
Comment valoriser les espaces extérieurs de l’IUT grâce à la création de mobilier par la filière sgm ?
Ce projet consiste à l’étude du milieu spatial de l’IUT de Mont de Marsan.
La contrainte étant de réfléchir à du mobilier pouvant être fabriquer par les élèves des différentes filières présentes dans l’établissement.
Après la mise en place d’un sondage auprès des élèves de l’IUT, puis d’un Benchmark et d’une analyse marketing autour du milieu étudiant, les recherches se portent sur l’univers du bien être.
Ainsi se forme le concept d’une gamme modulable et basique réalisable par les étudiants de l’IUT.
Afin de choisir au mieux les matériaux , une démarche d’éco-conception est mise en place. Ainsi les matériaux choisis sont: une matière locale , le pin maritime. Une matière peut coûteuse et résistante : le bambou. Viennent ensuite s’ajouter en quantité moindre l’acier et le polycarbonate.
Les notions étudiées sont ici : partage, végétalisation, cocon, Feng Shui, esthétisme, éco responsabilité.
A cela s’ajoute d’autres éléments au cahier des charges : la réalisation d’un système de tri des déchets; la valorisation de zones délaissées de l’IUT et réorganisation des zones engorgées; l’optimisation du confort des étudiants; l’harmonisation du mobilier avec l’architecture du lieu.
AMENAGEMENTS IUT DE MONT DE MARSAN
Comment valoriser les espaces extérieurs de l’IUT grâce à la création de mobilier par la filière sgm ?
Ce projet consiste à l’étude du milieu spatial de l’IUT de Mont de Marsan.
La contrainte étant de réfléchir à du mobilier pouvant être fabriquer par les élèves des différentes filières présentes dans l’établissement.
Après la mise en place d’un sondage auprès des élèves de l’IUT, puis d’un Benchmark et d’une analyse marketing autour du milieu étudiant, les recherches se portent sur l’univers du bien être.
Ainsi se forme le concept d’une gamme modulable et basique réalisable par les étudiants de l’IUT.
Afin de choisir au mieux les matériaux , une démarche d’éco-conception est mise en place. Ainsi les matériaux choisis sont: une matière locale , le pin maritime. Une matière peut coûteuse et résistante : le bambou. Viennent ensuite s’ajouter en quantité moindre l’acier et le polycarbonate.
Les notions étudiées sont ici : partage, végétalisation, cocon, Feng Shui, esthétisme, éco responsabilité.
A cela s’ajoute d’autres éléments au cahier des charges : la réalisation d’un système de tri des déchets; la valorisation de zones délaissées de l’IUT et réorganisation des zones engorgées; l’optimisation du confort des étudiants; l’harmonisation du mobilier avec l’architecture du lieu.




BAETEA
Comment créer l’harmonie entre l’espace du jardin et la biodiversité ?
Le mot baetea est issu de la langue d’oïl et signifie bestiole, ce qui désigne les petites bêtes dans le langage populaire.
Le principe de Baetea est d’offrir un habitat artificiel aux insectes qui gravitent dans l’univers du potager et du jardin.
Or en ville le développement est contraint par un grand nombre de paramètres.
Ce concept a pour but d’offrir une alternative à l’habitat premier de l’insecte. De plus la structure est ludique, et se compose de 4 «tiroirs» qui sont à structurer par l’utilisateur.
Ainsi les jeunes passionnés de nature pourront sur leur balcon étudier la vie de ces insectes. Découvrir leurs développement au quotidien, et les bienfaits qu’ils apportent aux plantes qui les entourent.
Baetea est réalisée en terre cuite moulée ce qui permet une réalisation en série.
Ces capacités d’isolation thermique en font un refuge idéal pour les insectes des jardins. de plus la porosité du matériau permet aux insectes de facilement s’y agripper.
Sa forme en étage permet de construire un habitat propice à chaque insecte selon sa nature (volante, grimpante, rampante).
Sa forme circulaire et massive permet d’en faire un objet stable et décoratif.
Si l’utilisateur vient à ne plus l’utiliser comme nichoir de synthèse, il peut en faire un parfait système de rangement pour tous les petits outils du jardin.
Le but premier est ici de pouvoir réintroduire l’insecte au cœur de la vie d’un petit jardin de ville.


